La colère gronde chez les intervenant.e.s du communautaire
Le 23 janvier, environ 200 personnes ont manifesté dans les rues de Montréal à l’appel du Syndicat des Travailleuses et Travailleurs en Intervention Communautaire (STTIC-CSN) pour exiger des primes de risques liés à leur emploi en temps de COVID-19. Le Syndicat des travailleuses et travailleurs de l’Accueil Bonneau (STTAB-CSN) avait également envoyé plusieurs de ses membres à la manifestation. C’est que ceux-ci ont appris la semaine précédente l’abolition d’onze postes d’intervenant.e.s, remplacés par des agents de sécurité Garda en sous-traitance.